SUPPer

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SUPPer

Syndicat

Unitaire et

Pluraliste du

Personnel

L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

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En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

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L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

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Coordination nationale le 18/01/2012 

La question des salaires est le sujet à traiter en priorité, au vu des NAO qui commencent dans toutes les filiales.

Un bref retour sur l’année passée


SUPPer, tirant le bilan des années passées, estimait qu’il fallait commencer les négociations salariales dès septembre-octobre de façon à contraindre la direction du Groupe THALES à de vraies négociations, sous la pression des salariés mobilisés.


Sans réponse à notre appel unitaire, SUPPer a initialisé dès septembre des actions (heure d'information, tract, pétition,..) pour demander l'ouverture rapide des NAO. Il fallut attendre novembre pour que les organisations dites représentatives au niveau du Groupe demandent une négociation avant fin novembre. Ils lancèrent une pétition. Malgré la volonté de SUPPer de s’associer à cette pétition, dans de nombreux établissements ces organisations nous en ont exclu.


Fin novembre, début décembre, sans appeler les salariés à se mobiliser, ces mêmes organisations syndicales acceptèrent l’invitation de la direction du Groupe à débattre d’une lettre de cadrage. Celle-ci se cantonne à des vœux pieux sans aucune revendication chiffrée : elle s'engage en 2012 à mener une politique de rémunération …en s'attachant à préserver le pouvoir d'achat…Chiche !


Ainsi le scénario des années précédentes risque de recommencer : réponses sporadiques d’établissements plus combatif que d’autres, rassemblements des seuls délégués devant Neuilly et pas de réponse à des revendications permettant d’être à la hauteur des demandes du personnel.

Aller de l’avant…


L’indice INSEE (+ 2,5 %) est loin de représenter la réalité de l’augmentation du coût de la vie. Les dernières augmentations (transport, essence, EDF-GDF, loyers, alimentation…) dépassent largement ce pourcentage, et ce ne sont pas les annonces gouvernementales à venir qui vont aider les salariés à maintenir leur niveau de vie.


Dans une société qui réalise ses richesses par le savoir et le savoir-faire des 35 000 salariés du Groupe Thales en France, la répartition de celles-ci est de très loin inéquitable (toujours plus pour les grands actionnaires et les dirigeants, et des miettes pour les salariés)

 

Pour rattraper le gel ou la stagnation des salaires ces dernières années, SUPPer a fait les propositions suivantes :

  • une Augmentation Générale fixe pour tous d'au moins 150 €
  • des Augmentations Individuelles pour les évolutions de carrière et les promotions
  • la compensation de l'augmentation du PMSS de 86 € au 1er janvier
  • Intégration des primes et des parts variables dans le salaire de base (progressivement, comme cela a été envisagé par la direction à Thales Alenia Toulouse pour les Pos II)




L’augmentation générale fixe permet de donner un coup de pouce aux bas salaires car les augmentations en % favorisent les salaires les plus hauts.


Enfin en terminer avec les EAA et la politique people first qui permet de diviser les équipes, de pratiquer le salaire "à la gueule du client"…comme l’ont affirmé un certain nombre de décisions de justice à Toulouse contre Airbus.

Tous ensemble ?


Mais si nous voulons gagner, il faut que chacun y mette un coup. Les directions profitent de la passivité, de l’écœurement, de l’individualisation des salariés.
Il faut savoir retrouver le chemin de la mobilisation dans chacun des établissements, toutes catégories confondues, et préparer les conditions d’une manifestation de dimension nationale à Neuilly pour que la direction se rende compte de notre colère !
Et si l’unité se réalise au niveau des salariés, elle poussera les organisations syndicales à s’unir elles aussi et oublier leurs intérêts mesquins d’affirmer chacune sa supériorité face aux autres.

Faisons de 2012 une année SOLIDAIRE !