SUPPer

  • Syndicat
  • Unitaire et
  • Pluraliste du
  • Personnel

SUPPer

Syndicat

Unitaire et

Pluraliste du

Personnel

L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

Lire la suite...

SUPPer

  • Syndicat
  • Unitaire et
  • Pluraliste du
  • Personnel

SUPPer

Syndicat

Unitaire et

Pluraliste du

Personnel

L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

Lire la suite...

SUPPer

  • Syndicat
  • Unitaire et
  • Pluraliste du
  • Personnel

L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

Lire la suite...

Coordination nationale le 18 juillet 2012

Depuis de nombreuses années, la direction Thales a accordé aux organisations syndicales dites « représentatives » au niveau du groupe un certain nombre de prérogatives et d’avantages financiers pour assurer leur fonctionnement quotidien au travers d’accords dans le cadre du droit syndical et du dialogue social.
SUPPer n’en bénéfice pas ou très peu dans les sociétés où nous sommes présents et représentatifs notamment depuis la fameuse loi du 20 août 2008. C’est le prix de notre réelle indépendance.

Constat


Des accords ont été négociés, signés par les organisations syndicales, et la direction en a fait ses choux gras dans ses diverses publications, tant en interne qu’en externe dans la presse française, européenne et internationale.
La volonté de dialogue social, de déclaration de transparence vis-à-vis des partenaires sociaux, a toujours été affirmée haut et fort au travers des accords signés.

Réalité


La finance n’a que faire de ces engagements et aujourd’hui les syndicats représentatifs groupe semblent découvrir la réalité de la politique menée par la direction du groupe au travers de ses réorganisations, ses cessions d’activités, ses plans d’économies tous azimuts, ses méthodes managériales, ses modes d’organisation, et le lean qui transforme les salariés en « chasseurs de temps mort » pourtant indispensable à l’équilibre psychologique de chacun.

Et demain ?


La presse est plus informée que les « partenaires sociaux » sur les réorganisations dans le management intermédiaire et les 1 500 suppressions de postes envisagés, les délocalisations et les « cessions » en tous genres.
La presse annonce un « tsunami » qui augmente la pression psychologique sur toutes les catégories de salariés, y compris celles qui auraient été « privilégiées » jusqu’à présent. Qui peut encore croire à la propagande de l’intranet sur « le plébiscite » des Probasis Days ?!?


People1st est mort : vive Thales Together !


Alors que rien ne le prévoyait, quelle mouche a piqué la direction en remplaçant l’outil qu’elle avait tant encensé pendant des années et adapté en 2009 ? Seul SUPPer c’est inquiété de ce changement qui ne promet rien de bon pour les salariés.
La réalité du dialogue social
Thales Together est tout juste en place que le DRH groupe est remercié (démissionnaire ?). Preuve, s’il en était encore besoin, que la roche Tarpéïenne est toujours aussi proche du Capitole !…
Et que la gratitude de nos dirigeants ne change pas avec les noms des organisations RH…

 

Les salariés, richesse de l’entreprise


Face à la casse orchestrée par nos dirigeants, à la dictature de la finance, la réalité du dialogue social fait son deuil et il est effectivement grand temps de se souvenir que les salariés existent et doivent prendre en mains leur destin.
C’est ce qu’ils font :
- A Thales Services Business Solutions (BUS) en s’opposant au projet de cession de leur activité à GFI, en résistant héroïquement à toutes les pressions, en organisant la lutte pour rester dans Thales et démontrer l’incohérence de ce projet
- A TED et Trixell Moirans en s’opposant au projet de cession de la radiologie alors qu’elle n’a même pas été actée par la direction du groupe
- En s’opposant à la satellisation des activités de gestion de la paye, des achats vers Thales Global Services (TGS)
- En refusant le transfert des activités Radar vers Singapour qui met en danger le site d’Ymare de TR6, et, à terme, toute la filière en Europe
- A TTS ?

Et rien ne se fera sans eux !


On assiste à un démantèlement progressif des équipes. Probasis est en marche et pour les profits à réaliser toute activité qui peut être centralisée est avalée… avec au bout comme conséquence : des fragilisations d’emplois pour raisons de doublons et des filiales désossées dont on mine l’efficacité.
Alors que le plan de démantèlement de la R&D est enclenché (le fameux « ACCOR&D »), d’autres activités dites transversales seront certainement concernées par ces transferts : la qualité et pourquoi pas les services comptables !
Combien de salariés sont découragés, se replient sur eux-mêmes, voient leur santé physique et mentale se dégrader !
Oui, il faut en discuter avec les salariés et les écouter, directions et syndicats.
Il faut mettre un terme à cette course infernale à la dégradation de notre cadre de travail où seulement certains s’y retrouvent et où l’individualisme empêche les solidarités : ne laissons pas THALES devenir un « France Telecom » !
Qui connait le mieux le travail ?
Sans hésitation, SUPPer répond : LES SALARIES !